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Musical
0001 - Starmania (1979)
Musique: Michel Berger
Paroles: Luc Plamondon
Livret: Luc Plamondon
Production originale:
5 versions mentionnées
Dispo: Synopsis  Génèse  

Opéra-rock cultissime de Luc Plamondon et Michel Berger, il est peu probable de ne pas en connaître une chanson, tant certaines sont passées dans la culture collective : Le blues du businessman, Ziggy, SOS d’un terrien en détresse, ou encore Le monde est stone. Créé en 1979, vingt ans avant Notre-Dame de Paris qui sera un autre succès franco-québécois, Starmania a connu assez de succès pour être joué de façon intermittente pendant trente ans, être adapté de façon symphonique pour en faire un opéra et pour qu’on parle encore d’un film à venir (bien qu’il ait peu de chance d’arriver, depuis le temps).

Genèse: " Starmania ", c'est d'abord l'histoire d'une rencontre celle de Michel Berger et de Luc Plamondon. Le compositeur français, grand admirateur du parolier canadien, lui indique qu'il souhaite collaborer avec lui. L'envie est semble t-il réciproque.... Daniel Balavoine, France Gall ... Naissance de légendes Trois années s’écoulent entre l’écriture et l’enregistrement de l’opéra-rock de Michel Berger et de Luc Plamondon. La première version de « Starmania » voit le jour en 1978. Pour ce premier album, sous titré « Starmania » ou la Passion de Johnny Rockfort selon les évangiles télévisés », les auteurs choisissent deux artistes cAnadiens, déjà confirmés : Diane Dufresne (Stella Spotlight) qui a, alors, plusieurs succès à son actif : " Tiens-toé Ben, j'arrive " ou encore « Opéra-Cirque ", et  Claude Dubois (Zéro Janvier), déjà, reconnu pour : « Tu sais » ainsi que « Touchez Dubois ». Pour camper Johnny Rockfort, celui qui est encore inconnu du public, un certain Daniel Balavoine. Pour incarner Cristal, France Gall, qui deviendra, elle aussi, l’interprète que l’on connaît et l'épouse de Michel Berger. La version originale compte également Éric Estève dans le rôle de Ziggy, Fabienne Thibeault dans celui de Marie-Jeanne, ou encore Nanette Workman dans celui Sadia. Starmania, ça se chante et ça se danse   Ces artistes mais également le thème universel de cet opéra-rock vont largement contribuer au succès des chansons de Starmania. Les titres : « Les uns contre les autres », « Le monde est stone», « Le blues du businessman », « Un garçon pas comme les autres », « La complainte de la serveuse automate », « SOS d'un terrien en détresse », « Monopolis », " Quand on a plus rien à perdre " ou encore « La chanson de Ziggy » deviennent des tubes. Le disque est sacré double album d'or en France. L’opus devient numéro 1 des ventes au CAnada. Succès chez les disquaires, l’opéra-rock est également plébiscité sur scène. Création sur scène Starmania est présenté, pour la première fois le 10 avril 1979, au Palais des congrès de Paris, avec une mise en scène de Tom O’Horgan. La comédie musicale rassemble une quarantaine d’artistes sur scène: chanteurs, danseurs, musiciens et choristes. Pour interpréter Johnny Rockfort, Daniel Balavoine. Diane Dufresne reprend le rôle de Stella Spotlight, France Gall celui de Cristal, Fabienne Thibeault celui de Marie-Jeanne, Nanette Workman celui de Sadia. Étienne Chicot est Zéro Janvier, Grégory Ken campe Ziggy et Violette Vial la speakerine. Un an plus tard, en 1980, « Starmania »  se joue à la Comédie Nationale de Montréal avec une mise en scène d'Olivier Reichenbach. Gilles Valiquette est Roger-Roger, Robert Leroux : Johnny Rockfort, Louise Forestier : Marie-Jeanne, Sylvie Boucher : Sadia, Michel Mc Lean : Zéro Janvier, Martine St-Clair : Cristal, Jacques Blais : Ziggy et France Castel : Stella Spotlight. Une longévité inégalée pour une comédie musicale Le succès quasi immédiat de « Starmania » ne va pas se démentir au fil des ans. Joué évidemment à Paris et au Québec, l’opéra-rock fait également l’objet de représentations à Moscou ou encore à Madrid. En Allemagne, il est présenté à l'Opéra d'Essen, où c’est Jürgen Schwalbe qui est chargé de la mise en scène en 1991. « Starmania » devient en anglais « Tycoon ». Le livret est signé par Tim Rice. Cindy Lauper (dont la chanson « The world is stone » se classe en tête des ventes aux Etats-Unis), Kim Carnes, Céline Dion, Tom Jones, Nina Hagen, Matt et Luke Goss, Willy Deville, Kevin Robinson, Ronnie Spector ou encore Peter Kingsbery participent à l’album qui sort en 1992. A compter d’octobre 1993, une nouvelle version de « Starmania » est créée au théâtre Mogador avec une mise en scène de Lewis Furey et des costumes de Philippe Guillotel, celui-là même qui avait été sollicité pour les cérémonies d'ouverture et de clôture des Jeux olympiques d'Albertville, un an plus tôt. Après Mauranne ou Renaud Handson cette nouvelle version, va, une fois encore, révéler de nouveaux talents dont Isabelle Boulay, qui incarne Marie-Jeanne, et de Bruno Pelletier, qui campe le personnage de Johnny Rockfort. C'est Muriel Robin qui prête sa voix à Roger-Roger. Cette version, récompensée en 1996 et 1997 par la Victoire de la musique du spectacle ayant attiré le plus grand nombre de spectateurs, est montée dans les plus grandes salles parisiennes : au Palais des congrès, au Palais des Sports ou encore au Casino.  Pour marquer les 20 ans de la comédie musicale, un CD live du spectacle sort en 1998.

Résumé:

Création: 12/4/1979 - Palais des Sports (Paris) - représ.



Musical
0002 - Légende de Jimmy (La) (1990)
Musique: Michel Berger
Paroles:
Livret: Luc Plamondon
Production originale:
2 versions mentionnées
Dispo: Résumé  Génèse  

La Légende de Jimmy est le deuxième opéra-rock de Michel Berger et Luc Plamondon qui fut à l'affiche au Théâtre Mogador à Paris du 22 septembre 1990, dans une mise en scène de Jérôme Savary en février 1991 sans rencontrer le succès de Starmania. Il a été remonté en 1992 à Montréal et en 1993 à Essen en Allemagne. Le titre est aussi celui d'une chanson de Diane Tell faisant partie de l'opéra.

Genèse: 1988 : Michel Berger et Luc Plamondon n'ont pas participé à un nouveau projet de spectacle commun depuis le succès de la première version de Starmania en 1978-1979. Ils éprouvent pourtant tous les deux le besoin de se retrouver. C'est au moment de la création de la nouvelle version de Starmania, dont ils assurent eux-mêmes la mise en scène au Théâtre Marigny, que le parolier et le musicien se lancent dans une autre aventure. Le thème est l'univers du légendaire et fascinant James Dean. La préparation du spectacle prendra deux ans. Michel Berger et Luc Plamondon ont appris que Jérôme Savary avait vu et apprécié la dernière mouture de Starmania. L'estime réciproque qui existe entre ces trois créateurs fait que Jérôme Savary mettra en scène l'opéra-rock La Légende de Jimmy (avant de participer avec Diane Tell à un autre spectacle musical Marilyn Montreuil en 1991). Mais en 1990, l'enregistrement et les répétitions prennent du retard. Un véritable contre-la-montre est engagé, ce qui provoque parfois des tensions vite dissipées. L'œuvre est composée au fur et à mesure de la préparation du spectacle. Quelques jours avant la première, des éléments sont encore ajoutés. Il arrive aussi que les essais des interprètes soient enregistrés à leur insu. Renaud Hantson, Nanette Workman, deux anciens interprètes de Starmania, Diane Tell et Tom Novembre, le comédien-chanteur, forment la distribution. Version Mogador Le spectacle est enfin à l'affiche au Théâtre Mogador à Paris en septembre 1990. Mais cette œuvre naît dans une période trouble, celle de la Guerre du Golfe. À ce moment précis, les menaces d'attentats terroristes perturbent la vie parisienne et le public hésite à fréquenter les salles de spectacles, cibles potentielles. Au bout de cinq mois, La Légende de Jimmy quitte la scène parisienne en février 1991. Elle ne rencontre pas le succès de Starmania, ce qui affecte les deux auteurs. Michel Berger et Luc Plamondon s'étaient investis très fortement dans ce projet qu'ils considéraient comme leur œuvre maîtresse. Le 2 août 1992, Michel Berger est victime d'une crise cardiaque qui lui sera fatale au cours d'une partie de tennis. A 44 ans, Michel laisse son partenaire musical seul. Luc Plamondon est meurtri et regrette notamment ces dix années pendant lesquelles Michel et lui n'ont pas travaillé ensemble. L'année précédente, ils avaient décidé de s'investir totalement dans la comédie musicale. L'album "Double Jeu" avec France Gall devait être la fin de la carrière française de Michel qui rêvait de s'attaquer à Broadway. Mais Luc Plamondon doit poursuivre le travail commencé avec Michel Berger. La version anglaise de "Starmania" ("Tycoon") doit être présentée sur scène ainsi que la reprise de "La légende de Jimmy" au Québec. "La légende" est déjà programmée du 17 novembre au 5 décembre à la Salle Maisonneuve. Une nouvelle distribution est établie avec quatre artistes québécois dont certains qui feront parler d'eux par la suite : Bruno Pelletier, Luce Dufault, Nanette Workman et Yves Jacques. Luc Plamondon assiste donc seul à la première de l'opéra rock à Montréal. Au moment du final, à la mort de James Dean, les membres de la troupe doivent encenser l'idole qui vient de mourir. Mais ce soir-là, c'est vers le portrait de Michel Berger qu'ils se retourneront et tendront le doigt en interprétant "Teenager for ever"... La Légende aujourd'hui La Légende de Jimmy n'a toujours pas été reprise en France, hormis par des troupes amateurs. Cependant, le spectacle a été créé en 1993 en Allemagne, à Essen. Il a d'ailleurs remporté le prix du meilleur spectacle de théâtre musical aux International Musical Awards Germany (IMAGE) en 1996. Il a été de nouveau monté dans ce pays au cours de la saison 1999-2000. Il existe un enregistrement studio de cette version allemande sous le titre de Jimmy Dean.

Résumé: Le cimetière de Fairmount, Indiana, lieu de pélerinage des fans de James Dean... Un teenager et une groupie se rencontrent devant la tombe du célèbre acteur. Le teenager est surnommé Jimmy par ses amis car il ressemble et s'identifie à James Dean. Virginie, la groupie, pleure son idole dont elle ne peut accepter la mort et dont elle reste désespérément amoureuse. Les deux jeunes gens assistent à un spectacle étrange : deux fantômes apparaissent au cours de cette nuit qui les marquera définitivement. Le Révérend J.W. (le Clergyman) a été une sorte de second père pour James Dean et lui a beaucoup appris au cours de son adolescence. Angelica, la Diva, est une étoile oubliée d'Hollywood qui a vécu une folle histoire d'amour vouée à l'échec avec James Dean. Elle n'a jamais pu se remettre de la fin de sa relation avec lui. Les deux fantômes évoquent leurs souvenirs et leurs regrets à propos de cet éternel rebelle. Le teenager et la groupie voient alors se dérouler le film de la vie de James Dean devant eux : la mort de la mère du petit Jimmy, son arrivée à Hollywood, ses histoires d'amour, son accident tragique... Au petit jour, lorsque la légende de Jimmy s'achève, les deux jeunes gens se retrouvent seuls et décident d'oublier leurs fantasmes d'adolescents et de s'aimer enfin pour eux-mêmes.

Création: 22/9/1990 - Théâtre Mogador (Paris) - représ.



Musical
0003 - Notre-Dame de Paris (1998)
Musique: Richard Cocciante
Paroles: Luc Plamondon
Livret: Victor Hugo
Production originale:
8 versions mentionnées
Dispo: Résumé  Génèse  Liste chansons  

Genèse: En 1993, après le phénoménal succès de Starmania , mis en scène depuis 1978, et le semi-échec de La Légende de Jimmy, créé en 1990, le parolier des opéras-rock, Luc Plamondon, décide de s’inspirer d’une grande histoire pour écrire son prochain opéra moderne. Feuilletant le dictionnaire des personnages, sur le point d’abandonner, il trouve son avenir à la lettre Q : Quasimodo ! Luc se plonge dans la lecture de Notre-Dame de Paris ; sur les six cent pages qu’il lit sans lassement, il note une trentaine d’idée de chansons. Le jour où il referme le livre de Victor Hugo, Plamondon connaît le thème de sa prochaine comédie musicale. « Je voulais mettre en chanson une grande histoire connue dans le monde entier. Qui sait, cela m’ouvrira peut-être les portes… du reste de la terre. » Il se souvient soudain des musiques qu’un de ses anciens collaborateurs, Richard Cocciante, avait écrites peu de temps avant, qui traînaient dans des tiroirs et qu’ils réservaient pour « un Grand Projet ». C’est à Richard que Luc propose la comédie musicale. D’abord sceptique, un peu surpris de se voir offrir une histoire classique par le créateur de Starmania, il déclare : « J’avais d’abord assez peur de m’attaquer à un tel monument de la littérature française. » C’est par la beauté des paroles de la chanson Belle qu’il est convaincu et croit au projet de son ami, chanson qui sera, cinq ans plus tard, le véritable déclic de l’œuvre. Luc Plamondon avouera plus tard avoir eu l'idée de cette chanson après avoir vu le film de Jean Delannoy (1956), avec Anthony Quinn et Gina Lollobrigida. De 1994 à 1996, Luc Plamondon et Richard Cocciante consacrent trois ans à l’écriture et à la composition de « Notre-Dame de Paris ». Ils travaillent ensemble par périodes courtes et intenses, avec frénésie à Paris, à Rôme, à Montréal… et séparément, par longues périodes de solitude et d’isolation ; l’un dans sa campagne romaine, l’autre au bord de son lac québécois. Echanges et télécopies, envois de cassettes, contacts fréquents. Chaque rencontre est magique : les paroles et la musique s’associent aussi bien que les deux collègues. Le jour où ils rassemblent les morceaux du puzzle, Richard et Luc s’aperçoivent qu'ils ont créé un spectacle musical de près de trois heures. Il faudra en retirer pas loin d’une heure ! C’est à ce moment que le metteur en scène, Gilles Maheu, intervient. Homme de théâtre d’avant-garde, il avoue qu’il serait très tenté par une comédie musicale. Aux mots de Maheu, Plamondon s’empresse de répondre : « Mon nouveau projet ne t’intéressera pas, c’est un sujet très classique ! » Luc finit par craquer lorsque Gilles insiste en lui rétorquant : « Sais-tu que la première œuvre de ma jeunesse fut un ballet sur Esmeralda et ses trois amoureux ? » Le plus gros travail étant achevé, Luc et Richard se mettent à la recherche d’un producteur pour le drame musical. Après avoir oublié trois refus d’importance dans l’univers du spectacle, Plamondon pense à se tourner vers le subventionné. Hélas ! Il n’y a plus de place dans les théâtres d’État en France autant qu’au Québec, pour le spectacle. Dans un coup de chance, Guy Darmet, directeur de la Maison de la Danse à Lyon et ami de longue date de Plamondon le présentera à Victor Bosch, patron du Transbordeur, une salle de rock. Ce dernier se montre plutôt intéressé et organise un rendez-vous avec Charles Talar qui annonce d’emblée : « Une comédie musicale de Plamondon, ça m’intéresse, la musique de Cocciante, c’est formidable, et un roman de Victor Hugo, ça me va ! » Et sans avoir rien lu, ni entendu, il leur déclare : « Si vous êtes d’accord, je produis l’album et le spectacle avec Victor. » Une écoute entre ami fut tout de même organisée. S’accompagnant au piano, Richard joue tous les rôles, Luc situe les scènes. C’est un moment de suspens pour les deux créateurs et les deux producteurs. Emotion générale à la fin. C’est parti, le montage du spectacle va pouvoir commencer. La première a été jouée le 16 septembre 1998 à Paris au Palais des congrès. Ce spectacle s'inspire du roman de Victor Hugo. Depuis, elle a été présentée dans plusieurs villes en France, Belgique, Suisse et au Québec. Une version courte en anglais est jouée depuis 2000 à Las Vegas (États-Unis) et une version anglaise (disponible sur disque) a été jouée à Londres, où elle a connu un succès mitigé. Elle a fait l'objet de nombreuses représentations à Montréal. L'adaptation italienne a été jouée à Rome ainsi que dans les arènes de Vérone. Il existe également une version en castillan jouée à Madrid et Barcelone ainsi qu'une version russe interprétée à Moscou. Une tournée internationale francophone passa en 2005 par Pékin, Shanghai, Séoul, Taïwan avant son retour à Paris en décembre 2005[1].

Résumé: Quasimodo aime Esméralda qui aime Phoebus. Celui-ci est fiancé à Fleur-de-Lys mais est attiré par la bohémienne. Frollo, témoins de tout ce manège, est lui même pris au piège. Son désir charnel refoulé depuis l'adolescence, explose comme un volcan devant la belle. Gringoire le pousse vers les abîmes de la conscience. Frollo va jusqu'a poignarder Phoebus pour l'empécher d'aimer Esméralda. C'est elle qui est accusée de l'attentat. Frollo la visite en prison pour lui proposé de se donner à lui en échange de sa liberté. Elle refuse. Il se vengera. Quasimodo enléve Esmeralda de sa prison et l'enferme dans une tour de Notre-Dame. Clopin et sa bande de «sans-papiers» envahissent la cathédrale pour la délivrer. Phoebus et son armé sont chargé de mater la révolte. Clopin et tué dans la mêlée. Gringoire devient poète engagé en devenant le porte-parole des sans-papiers. Quasimodo, impuissant laisse Frollo liver Esmeralda à Phoebus, croyant que se dernier est venu la sauver. Phoebus vient au contraire annoncer à Esmeralda qu'elle sera pendue. Quasimodo jette Frollo du haut de Notre-Dame, et arrive trop tard sur les lieux de la pendaison à la place de Grève. Il demande au bourreau le corps d'Esmeralda, pour se laisser mourir avec elle au charnier de Montfaucon.

Création: 16/9/1998 - Palais des Congrès (Paris) - représ.



Musical
0004 - Cindy, Cendrillon 2002 (2002)
Musique: Romano Musumarra
Paroles: Luc Plamondon
Livret: Luc Plamondon
Production originale:
1 version mentionnée
Dispo: Résumé  Synopsis  

Genèse:

Résumé: Il était une fois en 2002... L'histoire de Cendrillon transposée dans le monde moderne et racontée sur un ton tantôt émouvant, tantôt sarcastique. Cindy, une adolescente rebelle vit dans un pavillon de banlieue avec sa belle-mère et ses deux demi-soeurs qui la traitent comme une servante. Le soir, elle s'enfuit retrouver Malcom, son copain d?une cité avoisinante. Elle est le fruit d?une aventure de voyage entre un pilote d'avion irlandais, Ronan, et Candela une fille du soleil, qui a préféré abandonner son enfant pour pouvoir refaire sa vie dans son île. Pour donner un foyer à sa fille, le père de Cindy s'est mariée à une femme divorcée ex Disco-Queen sous le nom de La Palma. Le Prince Charmant se présentera sous les traits de Ricky, le rocker le plus adulé du moment, fiancé par la presse à une top-model névrosée Judy. Un soir, Ricky donne un concert dans la boîte de nuit la plus "in" de la ville. Cindy et Ricky tombent follement amoureux, mais le chemin est long et parsemé d'embûches …

Création: 25/9/2002 - Palais des Congrès (Paris) - représ.